C'est à partir de la fin des années 90 que Nicolas Godefroy alias Konik découvre un peu par hasard les soirées clandestines appelées free party.
Au lieu de rester devant les imposants murs d'enceintes et de danser, il préfère déjà découvrir en détail les lieux environnants par curiosité, souvent des sites industriels désaffectés.
C'est bien + tard à partir de 2010 qu'il achète son premier boitier reflex et débute non sans mal sans aucune formation initiale son long apprentissage de la photographie.
C'est bien + tard à partir de 2010 qu'il achète son premier boitier reflex et débute non sans mal sans aucune formation initiale son long apprentissage de la photographie.
Il redécouvre alors son attrait pour les lieux abandonnés, commence à enquêter, à faire des recherches sur internet et à regarder un peu + autour de lui.
Petit à petit, il prend goût à cette activité qu'il pratique régulièrement le + souvent seul.
Il essaie d'apporter sa touche artistique à ces lieux atypiques que beaucoup trouvent sans intérêt et où règne une atmosphère particulière.
Petit à petit, il prend goût à cette activité qu'il pratique régulièrement le + souvent seul.
Il essaie d'apporter sa touche artistique à ces lieux atypiques que beaucoup trouvent sans intérêt et où règne une atmosphère particulière.
Chaque exploration est un moment d'évasion, d'émotion, un échappatoire, un saut dans le passé où l'imagination et tous les sens sont en éveil.
Cette passion l'amenera aussi petit à petit à diversifier ses activités : prendre autant de plaisir à capturer des portraits, des paysages ou pratiquer la macro photographie.